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COMMUNAUTES D'EPARGNE ET DE CRÉDITS INTERNES: BENINCAJU MARQUE LA VIE DES PRODUCTRICES DE NOIX DE CAJOU!

30/7/2020

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Salomée WOROU GOURA est née à Tchaourou en 1982. Très tôt, elle a été initiée au commerce de divers produits vivriers tels que le maïs, les ignames, le soja, le gari en gros ainsi qu’à l’achat et à la revente de moutons et bœufs. Mariée et mère de 2 enfants, elle a acquis il y a 10 ans un domaine de 8 hectares pour en faire une plantation d’anacardiers. Elle a démarré sa collaboration avec le  projet BeninCajù il y a 3 ans.
« Avec BeninCajù, j’ai reçu beaucoup de formations sur les bonnes pratiques agricoles, l’entretien de plantation, des équipements agricoles. Je produisais 900 Kg de noix de cajou par saison. Pour la campagne de cette année, j’ai récolté 2100 Kg de noix. J’ai été incitée à intégrer le groupe CECI de ma localité. Là, j’ai pu participer aux épargnes et obtenir un credit qui m’a permis d’acheter 2 parcelles à Tchaourou et à Tchatchou.» Salomée WOROU GOURA.
Les revenus de Salomée se sont considérablement accrus avec l’augmentation de sa production. Elle aménage son calendrier de commerce afin de toujours suivre les formations de BeninCajù sur les techniques de production et le fonctionement du groupe CECI, creuset qui lui a été d’un grand apport financier. En effet, l’accès au financement, volet clé du projet BeninCajù  oeuvre inlassablement à faciliter aux producteurs de noix de cajou du Bénin, les voies et moyens pour réaliser de meilleures performances. Ainsi, les Communautés d’Epargnes et de Crédits Internes (CECI) ont été initiées par le projet en direction des cooperatives villageoises de producteurs d’anacarde.
Les types d’assistance reçus portent sur le renforcement de la capacité financière des producteurs;  la formation sur la méthodologie CECI et l’éducation financière, l’accès aux crédits CECI, la facilitation de l’accès aux services financiers formels (Connexion avec les Systèmes Financiers Décentralisés SFD), l’autofinancement. 
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De haut en bas, la maison et la boutique que Salomée a construites grâce aux crédits obtenus dans le groupe CECI mis en place par BeninCajù et auquel elle a adhéré. Tchaourou, Juillet 2020
 

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FRANCK AVIKPO, ETUDIER ET PRODUIRE DES PLANTS D’ANACARDIERS, C’EST POSSIBLE!

28/7/2020

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Franck AVIKPO, la trentaine est né à Abomey à 133 Km de  cotonou au centre du Bénin. Marié et père d’un enfant, il est Issu d’un père forestier et d'une mère couturière. Il a passé son cursus scolaire et universitaire à Lokossa et à Cotonou. Titulaire d’une maîtrise en géographie, il poursuit actuellement ses études de Master en Environnement, parallèlement à son activité de production de plants greffés d’anacardier qu’il a démarrée en 2015 dans sa pépinière située à Savè à 253 Km de Cotonou. Un an après (2016), sa collaboration avec  BeninCajù a débuté.
« Avant BeninCajù, ma production était de 7000 plants par an; j’avais très peu de visibilité et aucun moyen de mobilisation de ressources pour le développement de mon activité. J’exerçais dans l’informel et mon chiffre d’affaires tournait autour de 500 000 FCA par an. J’ai bénéficié de nombreuses formations sur : la préparation du substrat (Bokashi), les techniques de greffage et les bonnes pratiques de gestion de pépinière en Tanzanie pour augmenter ma production; de don de matériels agricoles (arrosoirs, tamis, pulvériseur, pots, pelle ). Aujourd’hui, je produis 20 000 plants par an et mon chiffre d'affaires est passé à 2 000 000 FCA. J’ai pu acquérir un nouveau site.» Franck AVIKPO.
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HISTOIRE DE SUCCÈS: RACHIDA, DE LA COUTURE A LA PRODUCTION DE NOIX DE CAJOU

27/7/2020

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Native de la commune de Tchaourou à 359 km de cotonou au nord du Bénin, Rachida DABOUDA, 25 ans, a grandi dans une famille d’agriculteurs. Scolarisée jusqu’en classe de 4ème, elle est Couturière de formation. Mariée avec deux enfants, eIle concilie  aisément son métier d’artiste et les travaux champêtres qu’elle effectue avec son époux dans la plantation d’anacardiers de ce dernier. Depuis 2017, elle et son époux ont démarré leur collaboration avec les équipes du projet BeninCajù.
« BeninCajù m’a formée sur les bonnes pratiques agricoles de production de noix de cajou. De 800 Kg en 2017, je suis passée à 1100 Kg en 2020. Ils m’ont incitée à intégrer le groupe CECI de ma localité où j’ai appris à épargner, à dépenser rationnellement, à gérer mes finances. J’y ai de gros avantages. » Rachida DABOUDA.
Les CECI (Communautés d’Epargne et de Crédits Internes) sont des groupes initiés par le projet BeninCajù en direction des cooperatives villageoises de producteurs d’anacarde pour des assistances relatives au renforcement de la capacité financière des producteurs;  à la formation sur la méthodologie CECI et l’éducation financière, à l’accès aux crédits CECI, à la facilitation de l’accès aux services financiers formels (Connexion avec les SFD), à l’autofinancement. Plus de détails ICI.
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Bâtiment construit par Rachida grâce aux épargnes et aux crédits obtenus au sein du groupe CECI de BeninCajù dont elle est membre.
 
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CajùLab : Renforcement de capacités des organisations bénéficiaires sur les SIG et le logiciel QGIS

8/7/2020

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Le projet CajùLab développera un outil numérique efficace, à moindre coût, performant et reproductible afin de mieux gérer et suivre les plantations d’anacardiers au Bénin.  L’utilisation efficace de cet outil par les organisations nationales partenaires requiert des connaissances en Système d’Information Géographiques (SIG) et des compétences en utilisation des logiciels SIG pour le traitement et l’analyse des données cartographiques, aériennes et satellitaires.
C’est dans ce cadre qu’un atelier de formation a été organisé sur le Système d’Information Géographique (SIG) et sur le logiciel libre QGIS au profit des organisations bénéficiaires et partenaires du projet. Cette formation s’inscrit dans une série de formation pour doter les structures nationales des compétences nécessaires pour l’utilisation des SIGs et de l’outil numérique basé sur l’utilisation des drones et de l’apprentissage automatique, qui sera développé par CajùLab pour une meilleure performance de la filière anacarde. La formation qui s’est tenue du 04 au 06 Mars 2020 dans les locaux de TechnoServe à Parakou, a regroupé quatre organisations notamment l’Agence Territorial de Développement Agricole pole 4 (ATDA 4), l’Agence de Développement Agricole Pole 7 (ATDA 7), la Fédération Nationale des Producteurs d’Anacarde du Bénin (FENAPAB) ainsi que TechnoServe Benin. 
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POLITIQUE SECTORIELLE-APPUI INSTITUTIONNEL :  LES ACTEURS DE LA PRODUCTION, CENTRE D’INTERET DU PROJET BENINCAJU

7/7/2020

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La production de noix de cajou commence par les pépinières. Il va donc de soi que les acteurs pépiniéristes de plants d’anacardiers constituent un point focal d’action du projet BeninCajù qui vise à terme la contribution à l’atteinte de l’objectif de 300 000 tonnes de production de noix de cajou fixé par le gouvernement du Bénin. La réalisation de cette ambition est subordonnée à la production d’1 000 000 de plants par pépiniériste.
​ La composante ‘’Politique Sectorielle et Appui Institutionnel’’ du projet qui gère entre autres l’assistance technique aux institutions publiques et interprofessions, le développement institutionnel /cohésion de la filière, la sensibilisation des acteurs publics, l’assistance technique aux prestataires de l’industrie de transformation, est la cellule qui travaille avec ces pépiniéristes pour ce but. Les bonnes pratiques de greffage, la mise à disposition de nouvelles techniques de fabrication de matériel végétal de qualité, les formations et coachings sont notamment du ressort de cette cellule du projet.
 Au cours du mois de Juin 2020, les activités du Projet à travers cette composante ont porté sur divers points concourant à soutenir ce maillon de la chaîne.
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PROJET BENINCAJU : UNE NOUVELLE COMPOSANTE POUR LE SOUTIEN AUX COOPERATIVES DE PRODUCTEURS

7/7/2020

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Les actions du projet BeninCajù  reposent sur quatre (4) piliers phares que sont la Production, la Transformation, la Politique sectorielle-Appui institutionnel, et l’Accès au financement. Toutes ces composantes du projet fonctionnent en symbiose dans le but d’assurer l’atteinte effective des objectifs d’intégration et d’accélération de la filière cajou au Bénin.
 Dans l’expectative de toucher tous les aspects clés de la chaîne de valeur anacarde, une étude portant sur l’état des lieux du fonctionnement des Coopératives villageoises de producteurs d’anacarde (CVPAs) a été initiée par TechnoServe de novembre 2019 à février 2020. L’un des principaux constats du diagnostic fait est que la structuration actuelle du mouvement coopératif béninois n’est pas en adéquation avec les orientations et dispositions de l’Acte Uniforme relatif au Droit des Sociétés Coopératives, qui constitue aujourd’hui l’unique cadre juridique règlementant les sociétés coopératives des pays membres de l’OHADA, dont fait partie le Bénin. Cette situation est préjudiciable au bon fonctionnement des sociétés coopératives au regard du risque élevé de leur fragilisation.  Conscient de cette situation, les acteurs de la chaine de valeur, présents à l’atelier de restitution de cette étude, et en accord avec les recommandations de l’étude, ont jugé indispensable, la restructuration du mouvement coopératif au Bénin, concernant la filière cajou.
 Le management du projet BeninCajù a donc décidé de la mise sur pied de la composante ‘’Soutien aux producteurs’’ qui sera la cheville ouvrière dans l’implémentation des activités :
  • de restructuration du mouvement coopératif au Bénin dans la filière cajou et
  • du programme de professionnalisation des producteurs de cajou.
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AUGMENTATION DE LA PRODUCTION DE NOIX DE CAJOU AU BENIN: BENINCAJU SOUTIENT L’INRAB

6/7/2020

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Depuis 2015, l’Afrique de l’Ouest est la première zone de production de noix brute de cajou dans le monde avec une production supérieure à 1 600 000 tonnes de noix brutes, devançant l’Asie (Inde, Vietnam, Cambodge, Indonésie) qui s’efforce de retrouver sa croissance des années d’avant 2013 (ACA,2018). L’Afrique de l’Ouest est la région du monde dont la production enregistre une forte croissance grâce à la jeunesse de ses vergers et aux nouvelles plantations mises en place chaque année.  Cette expansion s’explique par l’intérêt de plus en plus croissant des producteurs pour cette culture dont les exigences sont relativement modérées comparativement à d’autres cultures. Par ailleurs, la culture de l’anacardier est aussi complémentaire des autres cultures annuelles (céréales, arachide, coton, etc.), tout en offrant des opportunités de lutte contre les effets néfastes dus aux changements climatiques.
Au cours des dernières années, la compétitivité de l’anacarde béninois s’est davantage renforcée, faisant du Bénin le 4ème des pays producteurs africains. Sur le plan de l’économie nationale, l’anacarde contribue à 24,87% aux revenus agricoles d’exportation, 7% au PIB agricole et 3% au PIB. C’est la 2ème culture d’exportation du pays après le coton. Elle occupe actuellement une superficie de 285 000 ha avec un rendement moyen de 300-400 Kg/ha. Les zones ou aires favorables pour la production de l’anacarde au Bénin couvrent une superficie de 9 763 836 ha (Kassimou ISSAKA, WCC 2019). Le nombre d’emplois créés par cette activité a connu une hausse sensible et atteint aujourd’hui 200 000 personnes.
La filière anacarde s’affirme donc aujourd’hui comme l’une des opportunités pour l’amélioration des revenus et la création d’emplois particulièrement en milieu rural.
De ce fait, C’est une filière à haute valeur ajoutée qu’il importe de promouvoir dans le cadre de la diversification agricole retenue dans le Programme d’Action du Gouvernement  du Bénin pour bénéficier d’importants investissements. Au nombre des objectifs fixés, figure entre autres, l’accroissement de la production de noix brute de cajou de 134 982 tonnes (2015) à 300 000 tonnes d’ici à 2021. A ce titre, il est mis en œuvre le Programme National de Développement de la Filière Anacarde (PNDFA) qui inclut l’accompagnement des pépiniéristes, la réhabilitation et la mise aux normes de plantations anciennes ainsi que l’installation de nouvelles plantations.
Afin de contribuer à la réalisation de cet objectif, TechnoServe Bénin   à travers le projet BeninCajù  financé par le Ministère Américain de l’Agriculture (USDA)  a fait l’option de soutenir le premier maillon de la production constitué des pépiniéristes par le renforcement de leurs capacités de production de matériel végétal performant d’une part, et l’amélioration des conditions d’obtention de ce matériel dans une approche entrepreneuriale d’autre part. Le matériel végétal est le premier maillon essentiel de la chaîne de production agricole.
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HISTOIRE DE SUCCES: RISSIKATOU BAH N’GOBI, PRODUCTRICE DE NOIX DE CAJOU

5/7/2020

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Native de la commune de Tchaourou à 359 km de cotonou au nord du Bénin, Rissikatoou BAH N’GOBI, la quarantaine est née d’une famille d’agriculteurs. Très tôt, elle a été initié aux activités champêtres qu’elle a poursuivies une fois mariée. Mère de 6 enfants, Rissikatou travaille dans la production du cajou depuis 15 ans. Elle est propriétaire d’une plantation de 5 hectares sur laquelle elle produisait 400 Kg de noix de cajou par saison.
 Sa relation avec BeninCajù a démarré en 2018. Elle a intégré l’un des groupes ‘’CECI’’ du projet BeninCajù. Les groupes ‘’CECI’’ sont les Communautés d’Epargne et de Crédits Internes, creusets d’échanges et de formations des coopératives villageoises de productrices et producteurs d’anacarde, initiés par le projet afin de les aider à l’autofinancement et la mise en relation avec les Institutions financières décentralisées.
Les types d’assistance reçus portent sur le renforcement de la capacité financière des producteurs;  la formation sur la méthodologie ‘’CECI‘’ et l’éducation financière, l’accès aux crédits ‘’CECI’’,  la facilitation de l’accès aux services financiers formels (Connexion avec les SFD), l’autofinancement. « BeninCajù m’a formée sur les bonnes techniques de production, de récoltes-post récoltes et m’a motivée à intégrer un groupe ‘’CECI’’de ma localité. Je produis désormais 1300Kg de noix de cajou par an. » Rissikatou BAH N’GOBI.
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L’INTEGRATION DU GENRE AU PROJET BENINCAJU: LES PRINCIPES DU LANGAGE GENRE INCLUSIF

5/7/2020

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Pour nos lecteurs, il n’est plus un secret que le projet BeninCajù a fait de l’intégration du genre dans la filière cajou, son leit motiv.  Le genre a pour objectif, de promouvoir l’égalité des femmes et des hommes en prenant en compte les différences et la hiérarchisation socialement construite. Pour y parvenir, les activités de sensibilisation des acteurs afin de mieux prendre en compte ce paramètre dans les différents maillons de la production, constituent le cœur du mode opératoire du projet en la matière.
Le mois dernier, la communication inclusive a été le thème de sensibilisation des points focaux genre basés dans les différentes communes de production de la noix de cajou. Y faisant suite courant le mois de juin, la cellule genre du projet a entretenu les acteurs sur les principes du langage genre inclusif. L’objectif est d’améliorer la participation des femmes dans la chaîne de valeur anacarde par l’utilisation d’un langage inclusif.
Le langage étant le véhicule le plus usuel de toutes formes de discriminations, il est donc important de se focaliser là-dessus pour l’améliorer afin d’éviter de colporter les inégalités et les préjugés de genre. A ce titre, le langage genre inclusif devient capital. Quels en sont alors les principes ? 
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    Raïssa PRUDENCIO, Communications Manager TechnoServe Bénin

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