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CONTROLE DE LA QUALITE DES NOIX DE CAJOU : BENINCAJU AUX COTES DU CONEC

6/10/2020

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Le Conseil National des Exportateurs de Cajou (CoNEC) est une association qui regroupe l'ensemble des exportateurs de cajou du Bénin. Il est membre de l'Interprofession de la Filière Anacarde du Bénin (IFA-Bénin). Dans son plan de développement stratégique 2019-2023, il est prévu le renforcement des capacités des contrôleurs de qualité des noix de cajou destinées à l'exportation. Le choix de cet objectif stratégique résulte du diagnostic technique effectué par le CoNEC et qui ressort que les tendances en termes de normalisation du contrôle de la qualité des noix de cajou ont évolué au Vietnam. En Inde, les tendances restent telles.
 Sachant que la majeure partie du cajou du Bénin est exportée vers ces pays, il est important de renforcer les capacités techniques des agents de contrôle de la qualité des noix pour une meilleure appréciation des résultats qui, en réalité, définissent les propositions de prix sur le marché international. Par ailleurs, les agents de contrôle de qualité sont peu structurés et ont besoin de plus de professionnalisme. Le CoNEC a donc pensé qu'en renforçant leurs capacités et en les mettant dans un programme de suivi et de certification de leurs compétences, cela constituera une plus-value aux entreprises membres du CoNEC. La finalité étant de créer une relation de confiance entre les entreprises membres du CoNEC et leurs clients concernant la qualité des noix expédiées vers les différentes destinations. Une cinquantaine de sociétés ont donc souscrit à faire renforcer les capacités de leurs agents de contrôle.  
C’est dans ce contexte que le CoNEC a sollicité l’appui de TechnoServe  à travers le projet BeninCajù pour assurer la formation des contrôleurs de qualité des entreprises membres de son Conseil. Cette formation s’est déroulée en 3 vagues sur 3 jours par vague au cours du mois de Septembre 2020 avec 50 participants. Plus de détails ICI.
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ESSOR D’UNE FILIERE DE CAJOU BIOLOGIQUE AU BENIN : BENINCAJU AMORCE LE PAS !

5/10/2020

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L'agriculture biologique a émergé dans les années 1930-1940 où des associations la soutenant se sont organisées pour la défendre. C’est l’Association ‘’Soil Association’’ i.e « L’homme et le sol », l'Association Française d’Agriculture Biologique, et l'Association Nature et progrès. L'agriculture biologique est présente au Salon de l'agriculture pour la première fois en 1970. C'est durant cette période que son concept est véritablement créé en synthétisant les grandes valeurs développées par les théoriciens d'avant-guerre : refus de la chimie, retour à la paysannerie et aux cycles naturels.
 La production biologique est un système global de gestion agricole et de production alimentaire qui allie les meilleures pratiques en matière d’environnement et d’actions pour le climat, un degré élevé de biodiversité, la préservation des ressources naturelles et l’application de normes élevées en matière de production répondant à la demande exprimée par un nombre croissant de consommateurs désireux de se procurer des produits obtenus grâce à des substances et à des procédés naturels. » — Règlement (UE) 2018/848 du Parlement européen et du conseil du 30 mai 2018.
 L'agriculture biologique maintient donc la santé des sols, des écosystèmes et des personnes. Elle s'appuie sur des processus écologiques, la biodiversité et sur des cycles adaptés aux conditions locales, plutôt que sur l'utilisation d'intrants ayant des effets néfastes. L'agriculture biologique allie la tradition, l'innovation et la science au bénéfice de l'environnement commun [...] » — International Federation of Organic Agriculture Movements. Elle exclut donc le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse, utilisés notamment par l'agriculture industrielle et intensive au XXème siècle, les organismes génétiquement modifiés par transgénèse, et la conservation des cultures par irradiation. La fertilisation du sol et la protection des plantes doivent donc être assurées par d'autres méthodes. Les motivations des agriculteurs et des consommateurs sont de meilleurs revenus (cajou bio plus prisé que cajou conventionnel), une meilleure santé au travail, la protection de l'environnement ou des produits perçus comme plus sains.
 Au regard de cette évolution et de l’importance que TechnoServe taille à valoriser les capacités du secteur privé à mobiliser des ressources pour aider les individus à sortir non seulement de la pauvreté mais également à préserver leur santé, il devient primordial pour le projet BeninCajù qu’elle met œuvre avec CRS,  de réfléchir sur un projet qui promeut l’agriculture biologique en matière de cajou et en fait un secteur agricole à part entière. Car, ne dit-on pas que : « Manger bio, c'est lutter contre la pollution, les produits chimiques, mais aussi aider les agriculteurs à mieux vivre de leur métier ? Manger bio c'est manger équilibré, varié, sans pesticides, sans OGM ? » Le bio ne se mange pas, il se vit pleinement. C’est à ce titre que la composante ‘’Transformation » du projet BeninCajù a élaboré un projet de développement d’une filière du cajou biologique (Bio) au Bénin. Plus de détails ICI. 
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L’équipe ‘’Transformation’’ du projet BeninCajù en séance de travail avec le DG FENAPAB (à droite) dans le cadre du projet cajou bio. Parakou, Septembre 2020
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HISTOIRE DE SUCCES: ROMEO, DE LA COMPTABILITE A LA PRODUCTION DE NOIX DE CAJOU!

4/10/2020

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Natif de la commune de N’dali à 474 km de cotonou au nord du Bénin, Roméo GARADIMA, la quarantaine, est comptable de formation. Marié et père de deux enfants, il est passionné de l’agriculture notamment la culture du cajou qu’il a démarrée depuis 12 ans en association avec d’autres cultures telles que le maïs et le soja qu’il cultive sur une plantation de 8 hectares. Roméo est également boucher.
 En 2015, il a reçu la visite des Agents du projet BeninCajù qui l’ont conseillé sur l’espacement des arbres à élaguer.
‘’ J’ai intégré le projet BeninCajù  en 2015. Je produisais alors 800 kg de noix de cajou par saison. Je n’avais aucune compétence agricole ni commerciale. J’ai reçu des formations à N’dali, Dassa, Bohicon sur les techniques d’entretien de plantation, les bonnes pratiques de production, de récoltes et post-récoltes, l’association des cultures. L’application de ces connaissances m’a permis d’augmenter mon rendement. Actuellement, je produis 3000 Kg de noix par an.’’ Roméo GARADIMA. Plus de détails  ICI.  
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FEMMES ET ACCES AU FONCIER DANS LA FILIERE CAJOU: OPPORTUNITES DU NOUVEAU CODE FONCIER ET DOMANIAL DU BENIN (3)

4/10/2020

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La filière anacarde s’affirme aujourd’hui comme l’un des tremplins clés pour l’amélioration des revenus et la création d’emplois particulièrement en milieu rural. De ce fait, le Programme d’Action du Gouvernement du Bénin a retenu l’anacarde au nombre des filières prioritaires à promouvoir dans le cadre de la diversification agricole.
 De plus, de nombreux Partenaires Techniques et Financiers (PTF) dont le Ministère Américain de l’Agriculture USDA à travers le Projet BeninCajù  mis en œuvre par TechnoServe Bénin en partenariat avec CRS, deux ONG américaines conjuguent leurs efforts à ceux de l’État pour s’investir davantage dans le développement de cette filière qui apparaît au Bénin comme une alternative intéressante au coton, avec l'ananas, le riz, le palmier à huile, le manioc et le soja.
 Cependant, malgré cet essor, et bien que fortement impliquées dans la filière, les femmes demeurent confrontées à des difficultés au niveau du maillon production, notamment concernant leur accès aux facteurs de production.  En effet, elles ont des responsabilités dans la cueillette, le séchage et les tâches y afférentes, le semi et la récolte des cultures associées aux plantations (production vivrière nécessaire). Elles participent aux activités, en indépendantes dans leur propre exploitation ou au sein de l’exploitation familiale (champ du mari), qu’elles soient ou non rémunérées.  Néanmoins, très peu d’entre elles sont détentrices de grandes exploitations.
 En effet, au plan mondial, il faut rappeler que les femmes produisent plus de 50% de l’alimentation mondiale ; elles ne représentent que 13% des propriétaires des terres agricoles. (FAO). Au plan national (BENIN), Il ressort de l’analyse de la situation agricole que :
  • La femme est utilisatrice des terres parfois de mauvaise qualité. Ses conditions d’accès sont déterminées par son statut matrimonial : jeune fille célibataire, femme mariée seule ou dans un mariage polygamique (dans ce cas, le rang de l’épouse compte), femme divorcée ou veuve, épouse avec ou sans enfants… le nombre et le sexe de ses enfants.
  • 12% des femmes ont accédé à la terre par héritage
  • 15% des femmes sont propriétaires de parcelles
  • 2% des femmes sont propriétaires des terres qu’elles exploitent
  • 19% des femmes rurales ont accès à la terre.
Au regard de cette situation, le Gouvernement du BENIN a élaboré un dispositif juridique pour un accès égalitaire des femmes et des hommes à la terre. De ce fait, le projet BeninCajù, à travers sa composante ‘’Genre’’, forme ses bénéficiaires par une vulgarisation des opportunités du nouveau code foncier et domanial au BENIN. Le mois de Septembre a une fois encore été marqué par des séances d’informations et de partages y relatifs, avec pour objectifs de leur permettre de mieux comprendre la loi et ses decrets d’application; puis d’outiller les points focaux genre à saisir les opportunités offertes par le code foncier et domanial pour l’accès au foncier et la sécurité foncière.
 Au cours desdites séances, divers points d’attention ont été abordés.
Plus de détails ICI
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October 04th, 2020

4/10/2020

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October 04th, 2020

4/10/2020

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    Raïssa PRUDENCIO, Communications Manager TechnoServe Bénin

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